Arrivé comme prévu et après avoir loué la chambre d’hôtel, je me rend compte que dans la chambre, il y a un ordinateur avec connexion Internet. Je décide alors d’envoyer un courriel à ma femme. Mais je me suis trompé en écrivant l’adresse.
C’est ainsi qu’à Perpignan, une veuve qui venait de rentrer des funérailles de son mari mort d’une crise cardiaque, reçoit mon e-mail.
La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s’il n’y a pas de messages de la famille ou des amis, et s’évanouit à la lecture du premier d’entre-eux. Son fils entre dans la chambre et trouve sa mère allongée sur le sol, sans connaissance, au pied de l’ordinateur.
Sur l’écran, on pouvait lire le message suivant :
« A mon épouse bien-aimée. Je suis bien arrivé. Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes. Je viens d’arriver et j’ai vérifié que tout était prêt pour ton arrivée, demain vendredi. J’ai hâte de te revoir. J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien.
PS : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements : il fait une chaleur d’enfer ici ! »