Si vous pensez que vous avez tout vu, nos histoires aux fins imprévisibles vous convaincront autrement | 28 juin 2018

Quelqu’un pourrait-il obtenir un emploi, même si elles s’appliquaient par pure frustration ?

Est-il possible d’avoir une réunion avec des étrangers si vous ne connaissez pas leur langue ?

La réponse est oui. Lisez ces histoires si vous ne nous croyez pas.

On a recueilli les histoires d’utilisateurs d’Internet les plus intéressantes qui prouvent que notre vie est imprévisible.

J’ai une simple broche, rien de spécial. Une fois dans le métro, une vieille femme s’est assise à côté de moi et m’a demandé de le lui vendre.

J’ai refusé et elle m’a donné son numéro de téléphone et m’a demandé d’y réfléchir. J’ai été curieux et je l’ai appelée.

Il s’est avéré que cette broche était la broche de sa mère et elle l’avait vendue il y a 60 ans pour acheter de la nourriture pour sa famille.

Elle m’a même montré quelques-unes de ses vieilles photos de famille. Je lui ai donné la broche et refusé l’argent.

J’ai décidé de planter une fosse d’avocat. J’ai créé une construction spéciale, placé la graine dans un verre d’eau, fait face à l’extrémité pointue de la graine vers le haut, et j’ai commencé à attendre jusqu’à ce qu’elle craque et que les racines apparaissent.

J’ai également interdit à mon mari de le toucher parce qu’il aime briser les choses.

Il y a quelques jours, il a finalement craqué. J’étais tellement excitée, j’ai envoyé un texto à mon mari alors qu’il était au travail, « Avocado pit est fissuré ! » Et envoyé une photo. Comme je tapais que les racines allaient bientôt apparaître, mon mari a répondu : « Ce n’était pas moi ! Je n’ai pas touché ta fosse ! »

Sur mon CV, j’ai écrit que je connaissais une langue étrangère. Qui serait capable de tester mon tchèque de toute façon ?

J’ai passé l’entrevue et personne ne m’a posé de questions sur mes compétences linguistiques.

Un an plus tard, alors que j’avais déjà oublié mon mensonge, mon patron m’a dit :

« Les représentants de la société arrivent demain. Vous allez négocier avec eux. Nous avons de la chance d’avoir quelqu’un qui parle tchèque ! »

Bref, mon patron finit par être très content. Les Tchèques riaient constamment et finissaient par accepter nos conditions.

Quant à moi, je ne racontais pas de blagues, je demandais juste où leur hôtel était et répétais sans cesse que je ne connaissais pas la langue tchèque.

Une fois, un gars est venu me voir en utilisant un anglais cassé et m’a demandé de lui montrer le chemin d’un musée.

Je lui ai expliqué comment y aller et il a dit…

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