Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite: Venez, vous qui êtes bénis de mon Père; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde.
Vous m’avez donné a manger quand j’ai eu faim ; vous m’avez donné a boire quand j’ai eu soif ; et vous m’avez recueilli quand j’étais étranger ;
Vous m’avez vêtu quand j’étais nu ; vous m’avez visité quand j’étais malade ; et vous êtes venez vers moi quand j’étais en prison.
Les justes lui répondront: Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger; ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire?
Quand t’avons-nous vu étranger, et t’avons-nous recueilli; ou nu, et t’avons-nous vêtu?
Quand t’avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi?
Et il leur répondra: Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites.
Après le récit de ce passage de Matthieu dans la bible, le nouveau pasteur s’est tourné vers sa congrégation et leur a récité ce qu’il avait reçu ce matin même: le mépris, le dédain, l’humiliation.
Les gens se sont alors mis à pleurer et la plupart avaient de la haine, tous bien entendu remplis de honte.
Il termina par ces mots: “Aujourd’hui j’ai vu un rassemblement de personnes certes, mais ce ne sont pas les disciples de Jésus Christ qui étaient présents aujourd’hui. L’univers est remplie de humains qui ont une bonne conscience en se rendant à l’église le dimanche. Mais parmi eux combien de vrais pratiquants? Quand vous aurez la décision d’être de vrais disciples de Dieu?”
C’est une histoire dramatique qui met en avant la fourberie de certaines personnes ainsi que le signe de compassion dont nous sommes bien souvent coupables.